Création originale par Théâtre du Mont d'Arguël
Chaque année, Krapp enregistre un compte rendu précis de son état et de ses actes. Il écoute d’abord l’une ou l’autre des bandes enregistrées des dizaines d’années auparavant... « ...Viens d'écouter ce pauvre petit crétin pour qui je me prenais il y a trente ans »...En se souvenant avec
nostalgie des « beaux jours de bonheur indicible », comme les imaginait Verlaine, Krapp emprunte la trajectoire de Winnie (Oh les beaux jours), dans cet éternel retour au passé et l’évocation d’un instant d’amour.